Le Private Equity: performances et risques

Vous vous demandez quels rendements vous pouvez obtenir en investissant en Private Equity et quels sont les risques éventuels associés à cet investissement.

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Quelle est la performance moyenne réalisée par les fonds de Private Equity ?

Le Private Equity est aujourd’hui reconnu comme la classe d’actifs la plus performante sur longue durée, par rapport aux investissements en obligations, en sociétés cotées ou en immobilier. Ses rendements historiques moyens (principalement Buy-out et Growth) sont compris entre 10 et 15% par an sachant que les meilleurs Fonds mondiaux retournent plus de 20% par an.

A titre de comparaison les actions ont rapporté en moyenne 5%/an sur les 20 dernières années et 11%/an sur les 10 dernières années (indice MSCI World, source Cambridge Associates).

Comment s’expliquent les performances exceptionnelles du Private Equity ?

La réussite du Private Equity repose tout d’abord sur un alignement total d’intérêt :  les dirigeants des sociétés non cotées sont associés financièrement à la création de valeur qu’ils génèrent (le management package), il en est de même pour l’équipe de la société de gestion de Private Equity (qui perçoit 20% en plus-values générée : le carried interest) et les investisseurs ont des retours de 10% à 15%, nets de tous frais.

 

Cette réussite s’explique également par un savoir-faire de création de valeur de plus en plus sophistiqué de la part des sociétés de gestion du PE. Pour créer de la valeur, elles agissent sur 3 leviers principaux :

  • l’amélioration de la rentabilité mesurée par l’EBITDA
  • la génération de cash
  • l’accroissement des multiples de valorisation à la sortie par rapport à celui payé à l’entrée indépendamment des conditions de marché.

Pour atteindre ces objectifs, les sociétés du Private Equity se sont dotées de talents très pointus dans les domaines clés pour aider les sociétés du portefeuille : efficacité opérationnelle, transformation digitale, stratégie du go to market et pricing, build-up, développement international et politiques ESG.

 

Enfin, l’horizon de temps long (sortie à 5 ans en moyenne), sans préoccupation obsessionnelle pour les résultats à court terme (contrairement à l’univers du coté) est un autre facteur clef pour expliquer les performances du Private Equity, de même que la très forte compréhension des marchés financiers à la fois pour gérer la dette et les fenêtres de sortie, aussi bien par la bourse que par cession.

Est-ce le bon moment d’investir dans le PE (n'y a-t-il pas un risque de survalorisation des actifs) ?

Rappelons que le Private Equity a surperformé les marchés actions de 500 à 700bps/an(*) à travers tous les cycles depuis plus de 40 ans.

Structurellement, du côté de la demande de capitaux, l’univers des sociétés non cotées est sans commune mesure avec celui des sociétés cotées (ratio de 1 à 100 à minima) et, par ailleurs, le Private Equity surfe depuis plus de 20 ans sur les nouvelles technologies (informatique, transformation digitale, séquençage génomes, biotechnologie etc). et le changement de comportement des consommateurs. Du coté de l’offre de capitaux, l’épargne mondiale connait un accroissement constant, porté par une population qui vieillit et qui investit, et cette épargne est de plus en plus intermédiée.

Sur le plan conjoncturel, la guerre en Ukraine venant s’ajouter à tous les problèmes entrainés par la crise sanitaire du Covid, l’économie mondiale telle que nous la connaissions au cours des 10 dernières années a basculé dans une autre ère : regain d’inflation, augmentation des taux d’intérêts, disponibilité et niveau de prix des matières premières, dérèglement des «supply chains», risques géopolitiques accrus, volatilité des marchés boursiers, etc. Dans ce contexte de marchés incertains, le choix de confier une partie de son épargne au travers des FPCI Altaroc Global à des gérants mondiaux de Private Equity de premier plan, avec une diversification géographique de premier ordre au travers de sous-jacents porteurs (Tech & Telecom, Santé, Digital service et Digital consumer), offre le meilleur rapport rendement/protection du capital possible.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2 choses sont certaines : le Private Equity continue à surperformer les autres classes d’actifs du fait de son mode de fonctionnement, et comme c’est un métier cyclique, il est recommandé aux investisseurs d’investir une somme identique chaque année dans les fonds millésimés Altaroc … car nul ne peut prédire le timing des cycles.

(*) Source : Cambridge Associates

Quel pourcentage de mon patrimoine dois-je investir en PE ?

Il est nécessaire de déterminer, en premier lieu, la partie de son patrimoine pour laquelle on n’a pas besoin de liquidité sur les 10 prochaines années, en tenant compte des besoins de financement que l’on a identifiés : acquisition de sa résidence principale, financement des études des enfants ou projet professionnel. Ensuite, il faut allouer une partie de cette enveloppe à de l’investissement long terme de type private equity.

En règle générale, on considère qu’un patrimoine inférieur à 10 millions d’euros doit être placé à hauteur de 10% en private equity, cette proportion peut aller de 10% à 20% pour un patrimoine compris entre 10 et 50 millions d’euros et devrait atteindre plus de 20% pour un patrimoine supérieur à 50 millions d’euros.

A titre d’exemple, les banques privées américaines conseillent à leurs clients de placer environ 15% de leur patrimoine en private equity et les plus gros family offices sont investis à plus de 30% en private equity.

Quel est le risque de perte en capital sur un placement en Private Equity ?

Un gérant de private equity peut perdre un ou deux investissements mais il est extrêmement rare qu’un fonds, qui contient au minimum 10 à 15 participations, perde en capital.  En effet, les portefeuilles des fonds sont constitués de plusieurs sociétés, séparées par des structures juridiques étanches et dont les performances sont complètement décorrélées les unes des autres. Dans le cas d’Altaroc, on a choisi des fonds qui n’ont jamais fait moins de 15% sur 20 ans, et on a construit des portefeuilles de 4 à 6 de ces fonds pour minimiser le risque en cas de sous performance éventuelle de l’un de ces fonds.

Altamir est une bonne illustration de cela : sur 2010/2020, la société a réalisé 16% de rendement par an pour l’actionnaire, en dépit du fait qu’il y a eu quelques deals défaillants dans son portefeuille. C’est l’avantage d’avoir un portefeuille diversifié. Pourtant, Altamir investit uniquement à travers les fonds Apax France et Apax International et son portefeuille ne compte qu’une soixantaine de 60 sociétés sous-jacentes alors que les portefeuilles Altaroc sont ultra-diversifiés tant en termes de gérants que de géographies, et qu’ils auront plus de 120 sociétés sous-jacentes, ce qui permet de minimiser encore davantage le risque de perte en capital.

Les fonds de PE jouent l’effet de levier dans les sociétés, n’est-ce donc pas un investissement très risqué ?

Rappelons que dans le Private Equity l’endettement n’est pas au niveau du fonds mais au niveau des sociétés sous-jacentes.

Dans le cas d’Altaroc Global 2021, étant donné qu’environ 1/3 du portefeuille est sur le segment du Growth il n’y a pas de levier possible car les banques ne prêtent pas aux sociétés présentes sur segment.

Pour ce qui est du Buy-Out, étant donné que l’équipe Altaroc privilégie les sociétés de croissance, là encore, le recours à l’endettement est limité et l’effet de levier très raisonnable.

De façon générale, la performance des fonds sélectionnés par l’équipe Altaroc provient principalement de la croissance et de la rentabilité des sociétés et non de l’effet de levier.

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