Rappelons que le Private Equity a surperformé les marchés actions de 500 à 700bps/an(*) à travers tous les cycles depuis plus de 40 ans.
Structurellement, du côté de la demande de capitaux, l’univers des sociétés non cotées est sans commune mesure avec celui des sociétés cotées (ratio de 1 à 100 à minima) et, par ailleurs, le Private Equity surfe depuis plus de 20 ans sur les nouvelles technologies (informatique, transformation digitale, séquençage génomes, biotechnologie etc). et le changement de comportement des consommateurs. Du coté de l’offre de capitaux, l’épargne mondiale connait un accroissement constant, porté par une population qui vieillit et qui investit, et cette épargne est de plus en plus intermédiée.
Sur le plan conjoncturel, la guerre en Ukraine venant s’ajouter à tous les problèmes entrainés par la crise sanitaire du Covid, l’économie mondiale telle que nous la connaissions au cours des 10 dernières années a basculé dans une autre ère : regain d’inflation, augmentation des taux d’intérêts, disponibilité et niveau de prix des matières premières, dérèglement des «supply chains», risques géopolitiques accrus, volatilité des marchés boursiers, etc. Dans ce contexte de marchés incertains, le choix de confier une partie de son épargne au travers des FPCI Altaroc Global à des gérants mondiaux de Private Equity de premier plan, avec une diversification géographique de premier ordre au travers de sous-jacents porteurs (Tech & Telecom, Santé, Digital service et Digital consumer), offre le meilleur rapport rendement/protection du capital possible.
2 choses sont certaines : le Private Equity continue à surperformer les autres classes d’actifs du fait de son mode de fonctionnement, et comme c’est un métier cyclique, il est recommandé aux investisseurs d’investir une somme identique chaque année dans les fonds millésimés Altaroc … car nul ne peut prédire le timing des cycles.
(*) Source : Cambridge Associates