Rappelons que le Private Equity a surperformé les marchés actions de 700bps/an à travers tous les cycles depuis plus de 40 ans.
Structurellement, du côté de la demande de capitaux, l’univers des sociétés non cotées est sans commune mesure avec celui des sociétés cotées (ratio de 1 à 100 à minima) et, par ailleurs, le Private Equity surfe depuis plus de 20 ans sur les nouvelles technologies (informatique, transformation digitale, séquençage génomes, biotechnologie etc). et le changement de comportement des consommateurs. Du coté de l’offre de capitaux, l’épargne mondiale connait un accroissement constant, porté par une population qui vieillit et qui investit, et cette épargne est de plus en plus intermédiée.
Sur le plan conjoncturel, avec des taux d’intérêt quasi nul, nous sommes clairement en haut de cycle. Nous en avons déjà connu plusieurs et les meilleurs gérants le savent et déploient des stratégies pour créer de la valeur dans ces conditions de marché.
2 choses sont certaines : le Private Equity continue à surperformer les autres classes d’actifs du fait de son mode de fonctionnement, et comme c’est un métier cyclique, il est recommandé aux investisseurs d’investir une somme identique chaque année dans les fonds millésimés Altaroc … car nul ne peut prédire le timing des cycles.