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La structure des frais chez Altaroc

Épisode
19
10:44mn

Résumé

Frédéric Stolar expliquer la structure des frais chez Altaroc.

Transcription écrite

Alors beaucoup d'entre vous nous posent des questions sur les frais pour bien comprendre la structure de frais. Un élément très important chez Altaroc, c'est la transparence totale. On explique de façon totalement claire et transparente tout ce que nous faisons. On a voulu illustrer de façon différente l'enjeu des frais. Alors on vous présente ici sur un premier graphe le coût complet d'Altaroc, le coût complet d'Altaroc, c'est à dire le coût du portefeuille que nous on supporte puisqu'on investit dans des fonds professionnels de private equity, des fonds institutionnels auxquels on ajoute le coût qu'on vous facture. Et ça, ça vous donne une idée du coût complet de la gestion du Private Equity. Donc nous Altaroc, on supporte des frais dans les fonds sous jacents d'à peu près 1,2 % Et pour la part la plus chargée, chez Altaroc, on facture 2,5 %, ce qui fait qu'un client privé au final a un coût complet du Private Equity 3 sept. Maintenant, si vous aviez acheté un portefeuille de Private Equity dans une banque dans le cadre d'un feeder, le feeder, c'est un véhicule qui agrège les petits souscripteurs qui n'ont pas les moyens de souscrire 20 millions d'euros, qui est le montant minimum chez un gérant de Premier quartile. Et quelque part, il invite 200 clients, le feeder à 100 000 € pièce pour constituer ce ticket minimum de 20 millions. Bon, typiquement, la banque privée paiera dans un fonds de Private Equity sur les sous jacents 2 % et facturera au client privé pour la gestion complète du feeder 1,5 %.

Donc on voit que le coût complet pour un client privé qui souscrit à un produit de Private Equity par le biais d'un feeder est de 3,5. Donc on est à 3,5 chez un feeder pour un feeder contre 3,7 chez Altaroc pour la part la plus chargée chez Altaroc. Donc si je fais simple, le feeder et le produit Altaroc ont le même coût complet. Bon alors ça mérite quelques explications ici. Pourquoi est ce que nous Altaroc, on a un prix de revient de la matière première dans les fonds de 1,2 % et non pas de 2 % comme c'est le cas dans un feeder bancaire ? Pour deux raisons. La première, on va rentrer dans des très grands fonds de Private Equity, des fonds de grande taille qui typiquement ne cherchent pas les 2 % que le feeder bancaire vous proposera parce qu'il a souvent accès à des fonds régionaux ou des fonds locaux de taille moyenne qui facturent 2 %. Les très grands fonds facturent typiquement un et demi. Donc on est dans des grands fonds dont la performance est souvent d'ailleurs meilleure que les petits fonds qui facturent un 1,5 contre les deux du feeder. Ça, c'est le premier point. Le deuxième point, c'est comment on fait des co-investissements à hauteur de 20 % de nos Millésimes et que sur ces co-investissements nous sommes invités par les fonds sous jacents sans fees et sans carried, Altaroc ne supportent en fait des frais de gestion que sur 80 % de son portefeuille.

Donc en fait nos frais de gestion sont 80 % de 1,5 %, soit 1,2 %. C'est ce qui explique quelque part le fait que chez nous, chez Altaroc, on est à 1,2% en prix de revient, contre 2% pour une banque qui vous invite à souscrire. Alors qu'est ce qui est mieux ? Altaroc ou un feeder bancaire sachant que ça coûte à peu près le même prix ? On vient de le voir, c'est évident qu'Altaroc est mieux. Je voudrais expliquer pourquoi. Dans un feeder vous avez un fond. Nous on a 6 fonds. Un feeder a typiquement un ticket d'entrée minimum à 100 000 €. Altaroc aussi, donc pour 100 000 €, chez Altaroc, vous avez un portefeuille mondial diversifié construit autour des meilleurs gérants du monde, avec une stratégie très claire sur les pays dans lesquels on veut être exposés, sur les gérants chez qui on veut être exposés, sur les secteurs chez qui on va être exposés. Alors que dans un feeder bancaire, vous aurez typiquement un fonds national de qualité moyenne. Donc la puissance de la diversification d'Altaroc est incomparable avec celle du feeder. La deuxième chose, dans le cadre d'Altaroc, vous avez un reporting complet consolidé, digital, disponible chaque trimestre avec une animation sur l'ESG, avec une animation sur chaque société sous-jacente, ce que vous n'aurez jamais dans un feeder bancaire. Ensuite, au niveau des appels de fonds, et c'est fondamental, lorsque vous souscrivez à un feeder bancaire, vous pouvez avoir des appels de fonds à tout moment sans que le gérant sous jacent vous prévienne.

Ça ne peut pas arriver. Dans Altaroc, nous avons mis en place un abonnement quelque part. Les appels de fonds sont programmés, ils se montent à 20 % au closing et ensuite à 10 % chaque semestre, 10 % le 30 mars, 10 % le 30 septembre. Donc, en termes de facilité de souscription, en termes de facilité de planification, en termes de dynamique, de reporting, de transparence et de vision complète et de création d'un portefeuille consolidé, le portefeuille Altaroc est incomparablement plus efficace que le feeder bancaire. Alors, je le rappelle, ils ont le même coût. Dernier point assez clé : Maurice et moi, on s'est engagé à investir chaque année 33 millions d'euros dans nos Millésimes. Donc lui et moi, on est engagés à hauteur de 33 millions d'euros. Il y a un alignement d'intérêts très fort. On est d'assez grands professionnels du Private Equity, lui comme moi, et c'est nous qui avons construit ces portefeuilles. On a co-investit avec vous, c'est fondamental. Vous n'aurez jamais cet intérêt dans un feeder bancaire. En tout cas, vous n'aurez jamais cet alignement d'intérêts. La banque, elle, est purement distributrice. Nous, on n'est pas purement distributeurs. Nous sommes co-investisseurs à vos côtés. On a construit ces Millésimes pour nous, avant toute chose, en tant qu'investisseurs. Voilà, j'espère vous avoir éclairé sur les vertus du portefeuille Altaroc contre le feeder à iso coût. Maintenant, je voudrais illustrer un autre point. Quand on vous construit un portefeuille clé en main, ça a un coût et je voudrais, je voudrais revenir sur un point assez important.

Que vous soyez un institutionnel, puisqu'on construit des portefeuilles de qualité institutionnelle pour vous, ou que vous soyez une famille extrêmement fortunée, quand vous voulez construire des portefeuilles de la qualité d'Altaroc, vous avez besoin d'équipes, vous avez besoin d'équipes pour faire trois choses, pour sélectionner les gérants, pour diligenter les gérants, pour construire les portefeuilles, pour suivre les portefeuilles, pour gérer  les appels de fonds pour gérer la trésorerie. Pour gérer les reportings, vous devez engager des frais de diligence, des frais juridiques, des frais de diligence fiscale. Donc vous avez toute une batterie de coûts qui vont grever votre performance brute et qui vont faire qu'il y aura un écart entre la performance brute des gérants sous-jacents et la performance nette dans votre portefeuille. Quelque part, l'équipe, les coûts de construction d'un portefeuille, tout ceci a un coût. Alors, dans le cadre des grands institutionnels et ou des grandes familles, ils ont des équipes dédiées de 10 personnes, de 20 personnes, de 50 personnes. En fait, ils ont des coûts fixes. Grâce à Altaroc, vous avez intégralement variabiliser ce coût. Donc ce qu'on vous offre, c'est un coût connu, parfaitement connu, totalement variabilisés, qui est le coût de gestion d'un portefeuille. J'aime bien prendre cet exemple. Lorsque vous allez dans un grand restaurant et qu'on vous propose un menu dégustation, le menu dégustation, il est plus cher que la somme des prix de revient et des ingrédients de base. Chez Altaroc, c'est pareil.

Maurice et moi, on vous a concocté un menu dégustation mondiale. Et bien il y a un coût à construire ce portefeuille. Il faut accepter que pour aller chercher cette performance d'exception chez ces gérants d'exception chez qui on se bagarre pour vous faire rentrer dans un portefeuille construit. Ces équipes là ont un coût. On est une quarantaine de personnes chez Altaroc. On n'est pas encore rentable aujourd'hui. Tout ceci a un coût. Ce qu'on construit pour vous a un coût. Ce qui est important, c'est que la performance nette qu'on vous livre reste absolument exceptionnelle. Et c'est notre promesse. Voilà. Dernier point très important le poids des frais varie avec le temps. Alors il y a une pratique sur laquelle on est souvent interrogé dans le monde du Private Equity. Et c'est vrai de tous les fonds du monde entier. Les fonds facturent pendant ce qu'on appelle la période d'investissement. Ils facturent sur l'engagement pendant cinq ans et ensuite après la période d'investissement, ils facturent sur l'actif net, l'actif net variant et avec les cessions des sociétés sous jacentes, l'actif net diminue pour tendre vers zéro en année 10 ou peut-être avant. C'est la façon de facturer. C'est le modèle économique de tous les fonds de Private Equity au monde. En tant que portefeuille de fonds, nous avons adopté un modèle de facturation équivalent. Donc, si je prends l'exemple du client le plus chargé à 2,5% sur l'engagement pendant cinq ans, suivi de 2,5% sur l'actif net sur les cinq ans qui suivent.

La réalité, c'est que, au début de l'histoire, sur les années 1 et 2, l'engagement est très supérieur au montant tiré. Le montant tiré est de 20 % de l'engagement en année un. Donc le poids des frais en année un est par construction très supérieur à sa moyenne sur dix ans. Je vais le dire autrement si je représentais l'histoire différemment, plutôt que de vous présenter un 2,5 % sur l'engagement en année, un suivi de 2,5 % sur l'actif net par la suite, on aurait pu le moyenner et vous le présenter déjà à 1,8 % sur l'engagement pendant toute la durée de vie du fonds. Donc, si on avait choisi comme assiette l'engagement, on aurait pu le présenter à 1,8 % de l'engagement. Tout ceci pour illustrer le fait qu'au début de la vie du fonds, le poids des frais est supérieur parce que le fonds n'a pas encore tiré l'intégralité de l'engagement. Donc, au fur et à mesure de nos reportings, vous allez voir que lorsque les années vont avancer, le poids des frais va diminuer. Et quelque part, l'écart entre la performance brute du portefeuille et la performance nette de l'investisseur va se réduire considérablement pour atteindre l'équilibre en année cinq. Voilà, donc cet élément sur les frais est important. On ne l'avait pas forcément détaillé ou expliqué par le menu détail parce qu'on n'avait pas expliqué toute la façon dont fonctionne le Private Equity. Mais ce poids des frais, il varie avec le temps de par la méthode de facturation du Private Equity mondial.

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